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Kazuna Mitsunaga
Kazuna Mitsunaga

Apparitions : 6
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Posté le Ven 3 Aoû - 11:16.

Kazuna MITSUNAGA
©️ Kaguya, princesse au clair de lune ~

Globalement ~

Sexe : Féminin
Âge : 22 ans
Époque & Année : Morte le 18 Décembre 1937
Pays : Japon
Métier :
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Groupe : Tama
A première vue... ~

Taille : 1 mètre et 68 centimètres
Poids : 54 kilos
Morphologie : Fine, et de petite taille. Frêle, mais qui ne se casse pas : qui plie.
Cheveux : Jais aux reflets indigos quand le ciel sans source de lumière est éclairé frugalement par les rayons de la lune. Lisses et fins, on croirait toucher de la soie tant la douceur de cette chevelure est subtile. Très longs, ils lui arrivent au-dessus des reins. Une frange ramenée des deux deux côtés de son visage donne une touche originale et raffinée, en plus d'une coiffure soignée et très élaborée, faite à partir de perles, de fils d'or et de peignes surmontés de fleurs de lotus épanouies.
Yeux : Bleues et étincelantes, ses mirettes s'extasient pour un rien : elles peuvent se retrouver inondées de larmes de tristesse ou laisser simplement couler une goutte par émotion comme s'agrandir de surprise, ou encore y laisser une joie sincère et pure s'y refléter.
Caractéristiques : Aucunes.

Après ma mort, je suis telle que je suis.


Les morts appartiennent au passé.

La pièce était simple, éclairée par cette trouée à forme rectangulaire caricaturant une petite fenêtre. Quelques matelas posés au sol recouvert par de vieilles couettes d'un vert terne uni sentant la moisissure, et des oreillers blancs usé étaient tassés dans un coin de la pièce, la garnissant avec un vieux bureau en bois avec un tiroir contenant du matériel pour écrire, dont le plan était vierge, et d'un tabouret tout aussi miteux. Un tas de vêtements comblait le coin opposé à celui occupé par les lits de fortune.

Voilà dans quoi vivait la jeune femme maintenant, avec trois autres femmes en deuil.
Comment en était-elle arrivée là ? …
Elle était au pied du mur, en danger constant, alors qu'elle aurait pu être chez elle à l'abri. Dans son pays natal, la terre du soleil levant... Que faisait-elle dans cette ville chinoise ?
Elle se souvenait, consternée, que si elle était là, c'était par provocation et par abandon.

Son grand-père, amiral d'une des troupes terrestres japonaises du début du siècle, avait réussi à prendre ce territoire, et a y imposer sa force. Alors, par fierté et envoûté par le cadre, il avait fait construire une belle et riche demeure à Nankin. Cet homme avait eu un fils, qui était désormais le père de la jeune fille. Il avait repris le flambeau glorieux et sanglant de son père, et avait perpétué la descendance en épousant une femme d'une beauté impressionnante de la bourgeoisie japonaise.

Sa femme, morte, et lui sans cesse occupé à tranché des têtes, à conquérir des territoires, avait envoyé sa petite fille chérie dans cette ville, où le reste de sa famille vivait. La ville, bien que semblant être fragile du fait que ses dirigeants soient japonais, et donc en territoire ennemi, restait son seul territoire d'accueil, et où des gens qu'elle connaissait l'attendait. Peut-être son père ne voulait pas d'elle? ... Elle serait née homme, tout aurait été différent, elle en est sûre...

En effet, là-bas vivait sa tante, qui avait été plus qu'une mère que celle qui l'avait porté pendant neuf mois en elle, avec ses deux filles de dix-neuf et quinze ans ainsi que son fils aîné de 21 ans. Son mari était parti à la guerre.

Elle regardait cette chambre vide... Hier, elle était dans une si belle pièce, qu'autant de simplicité l’écœurait, la désemparait. Ils n'avaient rien vu venir.

La guerre se dressant entre la Chine et le Japon, la famille devait fuir... Alors qu'ils tentaient de préserver leurs vies, une nuit de Septembre, ils furent repérés par des vigiles. Après une lutte brève, le fils fut tué, et les femmes remises en leur domicile. On les ignora longtemps, et les laissa vivre dans le deuil et la crainte.

Les civils et les soldats de Nankin, ainsi que les résistants présents là-bas les séquestrèrent réellement en début Décembre : les quatre femmes se retrouvèrent enfermées dans une pièce de la maison, gardée par un des résistants. C'était une chambre d'ami inutilisée. Les autochtones l'avaient vidée, et mis le strict nécessaire pour les quatre femmes... Ils espéraient peut-être faire du chantage aux troupes japonaises en prenant en otage des membres de la famille Mitsunaga et se laisser l'occasion d'avoir plus de temps pour manœuvrer... Cette famille était puissante. Mais pas assez pour semer le trouble et le doute aux troupes japonaises aux portes de la ville.

Le 10 Décembre, la ville fut attaquée, après l'ultimatum de l'armée japonaise ignoré. Toutes les forces parties pour lutter contre l'armée, plus personne ne gardait la pièce dans laquelle elles étaient enfermés. Avides de liberté, elles défoncèrent la porte grâce à la chaise et espéraient trouver grâce auprès des soldats attaquant et descendirent au rez-de-chaussé.

Les femmes n'ont aucun moyen de se défendre... Elles n'ont jamais appris à se battre. Ont-elles au moins la force de frapper ? …

Elles ne pensaient pas une seconde à ce qu'elles allaient faire, une fois dehors. Dans la pièce à vivre, elles regardèrent effarouchées la scène qui se déroulait à l'extérieur... Tout n'était que sang... De peur de se faire tuer en se précipitant à l'extérieur, elles se cachèrent dans un coin de la pièce à vivre, accrochées les unes aux autres, à attendre la nuit pour avoir plus de chances de fuir...

Le temps passa, mais jamais la lune ne se révéla.

Les coups de feu ne cessaient jamais, les cris d'agonie, les plaintes, les hurlements de courage. Les maisons étaient pillées les unes après les autres, mais trop effrayés, personne ne bougeait, en espérant que personne ne passe faire quelques « emplettes » ici.
Un craquement sonore se démarqua des bruits de feu : on entrait dans la maison. Ce qui fut tant redouté arriva. L'ombre d'un soldat approchait.

Quand un homme dans la tenue militaire japonaise fit son apparition, précédé par un petit groupe d'un peu moins d'une dizaine, un soupir de soulagement traversa la petite assemblée. La tante, se leva et s'approcha de l'homme en tête progressivement pendant qu'elle articulait ses remerciements :

-Dieu merci, des secours ! Nous avons eu de la chance de tomber sur la milice jap... ! …

La baïonnette venait de lui traverser l'abdomen. Épouvantée, elle leva lentement les yeux vers le soldat. Il n'allait certainement pas les sauver.
Un des deux sœurs paniqua :

-Nous sommes la famille Mitsunaga ! Nous ne sommes pas des chinois !

La pointe de la baïonnette pointée sur elles, il imposa aux deux sœurs une relation incestueuse, le sourire gourmand... Épouvantées mais choquées, elles refusèrent ardemment. L'une contesta plus que l'autre, et pendant qu'il approchai l'arme sur elle, elle fondit en larme et commença à s’exécuter. Comprenant la situation, la deuxième s’exécuta à son tour. Kazuna, effrayée, restait au fond de la pièce, les sanglots l'étouffant pendant que deux des hommes s'approchaient à ses côtés, puis lui caresser le visage, en guise de consolation...

La jeune femme fixait la scène, prise de torpeur pendant que des mains longeaient son corps avec envie, de manière langoureuse et à la fois pressée, impatiente... Qu'allait-t-il lui arriver ? Elle essayait de ne pas voir ces hommes, mais dès que ce n'était plus ces soldats frustrés, elle voyait ses deux cousines entrelacées nues, le visage sanglotant, et l'homme qui était la cause de cet inceste s'interposer entre elles, pour y ajouter son grain de sel... Des hommes les menacèrent de leurs armes, quand elles ne voulurent pas se lâcher pour laisser l'homme se vider en l'une d'elles. Résignées, Kazuna ferma les yeux pendant que les mains de plusieurs hommes la déshabillaient pour ne pas voir ce qu'il allait arriver à ses deux cousines et à elle-même.

Elle entendit des gémissements de douleur, des sanglots de soumission. Les yeux fermés, elle sentit qu'on la mettait sur le côté pendant qu'on lui enlevait son obi, faisant glisser le doux tissus le long de son corps, la découvrant partiellement.

Non !

Elle se débattit alors qu'un intrus tentait de se glisser en elle ; ses pieds poussant le torse de l'homme face à elle qui lui écartait les cuisses, il perdit l'équilibre et tomba à terre. Deux autres hommes qui lui tenaient chacun un des poignets maintinrent leurs prises, pendant qu'un spectateur lui donnait une bonne correction en la frappant au visage. Désespérée, face à autant de soldats, la jeune fille fondit en larmes et resta docile.

Quatre hommes lui passèrent sur le corps, pendant que les deux autres filles satisfaisaient les besoins de leurs « sauveurs ». Une fois tous soulagés, ils résolurent des les utiliser comme femmes de réconfort tant elles étaient belles. Kazuna se débattit comme elle pu, ainsi que le reste de sa famille. En mordant l'un des poignets du garde qui la tenait fermement, il la lâcha par surprise. Tentant de s'échapper, le seul réflexe qu'eut un des soldats fut de tendre la baïonnette en sa direction. La jeune fille courait sans voir le bout de métal aiguisé l'attendre.

Il y eut des cris de tristesse, et des ordres, des reproches. Puis le silence.

Le regard faible, sa tête se tourna vers le corps de la tante... La femme respirait encore, et pleurait toutes les larmes de son corps. Elle avait tout vu alors que tout ses liquides s'échappaient d'elle et ne pouvait plus parler, son poumon gauche, touché par l'arme se remplissant de sang...Ses filles, sa nièce...

Au moins, cette dernière était morte, elle aurait à s'en faire moins pour elle quand elle sera dans l'au-delà... Quand à ses filles, si elles ne mouraient pas maintenant, elles seraient violées, encore et encore...Elle aurait pu, elle le leur aurait demandé. Mourez, si vous voulez une vie sans souffrances et barbaries ! Car dans l'au-delà, il y a toujours une vie pour les morts.

Ses yeux se fermèrent sur ses deux filles emportées nues, par les soldats, puis sur le corps sans vie de sa nièce, couvert de sa masse de cheveux soyeuse.

"Soit heureuse dans l'autre vie... Au moins pour tes cousines."

Je pense donc je suis.

Âge : Presque 16ans! :D
Pays : France
Double compte : Nope
Comment avez-vous connu le forum : Lee m'en a parlé... ;)
Code : Niark niark Omg Je sais pas moi (a). Traduction please? =D
Couleur de rédaction : Bleuet
D'autre info sur vous : Vive les lapins! *-*

Spoiler:




Dernière édition par Kazuna Mitsunaga le Dim 5 Aoû - 10:40, édité 9 fois
Lee Dae Hyung
Lee Dae Hyung

Apparitions : 9
Offrandes : 10
Age : 27





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Posté le Sam 4 Aoû - 4:17.

Hello ! And Welcome !
Tu as deux semaines pour finir ta fiche.
Tout le monde passe ! o/
Ciaossu ~


Kazuna Mitsunaga
Kazuna Mitsunaga

Apparitions : 6
Offrandes : 5





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Posté le Sam 4 Aoû - 11:43.

Merci beaucoup! =D


Xiu Qian Wang
Xiu Qian Wang

Apparitions : 22
Offrandes : 10
Age : 30
Emploi : Actrice au théâtre





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Posté le Sam 4 Aoû - 21:51.

Bienvenue sur le forum! Omg
Comme tu l'as demandais si gentiment. Teuplait
Si tu n'arrives pas à finir ta fiche avant que tu partes en vacances on devait te la mettre en suspend, ne t'inquiète surtout pas pour ça elle t’attendra ici! Superman


Lee Dae Hyung
Lee Dae Hyung

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Age : 27





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Posté le Dim 5 Aoû - 8:09.

Kizuna, oui, oui. Il y a un code à trouver.
Il est éparpillé en trois dans la muraille.


Kazuna Mitsunaga
Kazuna Mitsunaga

Apparitions : 6
Offrandes : 5





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Posté le Dim 5 Aoû - 10:21.

*Kazuna è_é
Merci... J'avais lu pourtant... Je vais recommencer alors... ^^'

Edit : Ah oui, en effet...
Il était bien caché ><


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Posté le .



 

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